

Portrait de Dominique Blanc pour la télévision – 2009 Peinture 90×60 cm
Thomas Cambois possède de nombreuses « couleurs » à sa palette d’artiste peintre.
Il est tout aussi bien portraitiste, que restaurateur de tableaux et d’objets anciens, son talent est tel qu’il a intégré en 2008 le cercle très restreint des copistes privilégiés qui arpentent les grands musées nationaux tel le Louvre.

Copie de la Vierge au coussin vert d’Andrea Solari ou Solario dans le Musée du Louvre.
Au XVIII ème siècle, l’aïeul de Thomas Cambois était peintre sous les ordres de Monsieur Le Brun, alors maître du classicisme français à la Cours de Versailles.
La facture et la maîtrise des techniques classiques font de l’artiste Thomas Cambois, un peintre de tradition qui saura se faire apprécier pour le LOTO d’arts.
La patine, le « stucco », le faux marbre, le faux bois, le trompe l’oeil, le faux ciel, la fresque, la peinture murale n’ont plus de secrets pour Thomas Cambois qui perpétue une tradition familiale devenue rare et précieuse, l’art de la Peinture.

» J’ai débuté dans la peinture à 17 ans auprès de mon père, peintre et fresquiste.
J’ai voyagé pendant plusieurs années dans le sud-est asiatique et en Amérique du nord où j’ai vécu de ma peinture et de petits boulots.
À mon retour à Paris, j’ai fais de la « décoration et restauration du patrimoine ». J’ai eu la chance d’intégrer l’un des meilleurs ateliers de restauration de tableaux de Paris (l’atelier Lepavec).
J’y suis resté 3 ans jusqu’à sa fermeture définitive. Je suis alors entré chez Merriguet-Carrere ou j’ai participé à certains des chantiers parisiens les plus prestigieux dont l’Opéra de Paris. «

Portraits sanguines et fusains

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